Comme à chaque fois, ces séances tombent le samedi... Quand va-t-on prendre en considération le fait que des gens travaillent ou, tout simplement, ne sont pas libres le samedi ?
Peut-on réfléchir à mettre ce type de stage une fois de temps en temps le dimanche SVP ?
D’autre part, est-ce bien normal , juridiquement parlant j’entends, que la Fédération remette en cause , de façon arbitraire - c’est le cas de le dire- des titres qui ont été attribués en leur temps sans aucune condition d’actualisation ni de re-validation d’aucune sorte ? On pourrait faire pareil avec les diplômes d’ingénieurs, les permis de conduire ou n’importe quel titre échiquéen attribué théoriquement à vie.
Messieurs Spassky et Kortchnoï, venez repasser vos normes s’il vous plait.
Un des grands principes du Droit est, me semble-t-il, que la Loi n’est pas rétroactive.Alors pourquoi cette disposition s’applique-t-elle aux arbitres déjà en poste au lieu de ne concerner que les impétrants ?
Je ne suis pas persuadé que la FFE gagnerait un procès que lui intenterait un arbitre invalidé ou un club sanctionné pour défaut d’arbitre.
Cette nouvelle disposition fleure bon la pratique bureaucratique d’un sous-groupe annexe de la grande famille des Échecs ( le corps arbitral avec , à sa tête, la toute puissante Direction Nationale de l’Arbitrage) qui , en gonflant artificiellement son importance et son utilité obtient une existence autonome ; ainsi, bardé de nouveaux pouvoirs ( celui de juger si une partie peut être déclarée nulle, celui de réveiller un ivrogne paisiblement endormi devant son échiquier, pour ne citer que les plus récents), ce sous-groupe oublie facilement que son rôle est celui d’un facilitateur voire d’un lubrifiant et qu’un bon arbitre dans un tournoi est un arbitre qu’on n’a pas remarqué ...mais ceci est un autre débat.