(....)
Si avoir un club de 400 personnes n’est pas une bonne chose où on va.
Le fait qu’il y est 400 personnes à la rigueur on s’en fou et puis ce ne sera pas un hasard ; les choses n’arrivent pas par miracle. Le but est de trouver une politique qui permette de développer les échecs en MPY. On ne peut pas dire qu’à Toulouse cela ne soit pas possible !! Si on arrive à créer un club de 400 personnes à Toulouse par une politique adéquoite, il est fort problable qu’elle profite à toute la région.
Je suis parfaitement d’accord avec ce genre d’ambitions ! Je crois effectivement que s’il y avait un club de 400 personnes à Toulouse, nous serions beaucoup plus que les 1200 licenciés actuels.
Mais encore faut-il en réunir les conditions... Les 5 clubs existants à Toulouse ne se sont pas créés du jour au lendemain... Ils ont correspondu à une nécessité. Le fait qu’ils perdurent semble montrer que cette nécessité existe toujours.
Runatomic
J’aimerais bien savoir qu’elles sont les objectifs au niveau de la ligue dans ce domaine ou même au niveau local. Comment avancer si on n’a pas d’objectifs ??? Et savoir, si ce qui est fait est benefique ?? J’ai pas l’impression qu’il est une volonté de progresser ensemble dans la région. Ce n’est pas qu’il est de mauvaises volontés... Mais je ne vois pas d’objectif commun... C’est bien à la ligue que doit revenir le rôle de superviser et d’organiser une politique de développement.
J’ai l’impression que l’on change de débat... Que vient faire la ligue ici ? Qu’est-ce que ça veut dire "je ne vois pas d’objectifs communs" ?
C’est dommage que tu ne sois pas venu à l’AG de la ligue, tu aurais pu te faire une idée de la volonté des participants... qui t’aurait sans doute évité d’écrire cette phrase que j’ai du mal à décoder.
En quoi la ligue peut-elle aider toulouse ?
Ne serait-ce pas plutôt - comme la première partie de ton message le suggérait- à Toulouse de jouer son rôle de métropole et de tirer la région vers le haut ?
Et si les clubs Toulousains avaient connu un développement identique à celui des Hautes-Pyrénées, la Ligue ne serait-elle pas plus forte que ses 1162 licenciés actuels ?
Comment aller plus loin ? Organiser des initiatives Toulousaines communes à tous les clubs ?
Faire "mousser" l’accession du CEIT en nationale 1, qui comme le dit Rital31 : "Dans ce sens la montée du CEIT en N1 avec une équipe entièrement constitué de non-professionnels devrait être saluée comme une victoire pour toute la ville de Toulouse. "
Un message, un commentaire ?
Publier un article sur ce site, c’est facile !
Tutoriel vidéo chapitré de la création du compte aux validations des articles en passant par la rédaction d’articles types. Réalisé par François Bressy, administrateur du site.
Je suis parfaitement d’accord avec ce genre d’ambitions ! Je crois effectivement que s’il y avait un club de 400 personnes à Toulouse, nous serions beaucoup plus que les 1200 licenciés actuels.
Mais encore faut-il en réunir les conditions... Les 5 clubs existants à Toulouse ne se sont pas créés du jour au lendemain... Ils ont correspondu à une nécessité. Le fait qu’ils perdurent semble montrer que cette nécessité existe toujours.
J’ai l’impression que l’on change de débat... Que vient faire la ligue ici ? Qu’est-ce que ça veut dire "je ne vois pas d’objectifs communs" ?
C’est dommage que tu ne sois pas venu à l’AG de la ligue, tu aurais pu te faire une idée de la volonté des participants... qui t’aurait sans doute évité d’écrire cette phrase que j’ai du mal à décoder.
En quoi la ligue peut-elle aider toulouse ?
Ne serait-ce pas plutôt - comme la première partie de ton message le suggérait- à Toulouse de jouer son rôle de métropole et de tirer la région vers le haut ?
Et si les clubs Toulousains avaient connu un développement identique à celui des Hautes-Pyrénées, la Ligue ne serait-elle pas plus forte que ses 1162 licenciés actuels ?
Comment aller plus loin ? Organiser des initiatives Toulousaines communes à tous les clubs ?
Faire "mousser" l’accession du CEIT en nationale 1, qui comme le dit Rital31 : "Dans ce sens la montée du CEIT en N1 avec une équipe entièrement constitué de non-professionnels devrait être saluée comme une victoire pour toute la ville de Toulouse. "