Un certain nombre d’entre vous pensent que les interventions dans les écoles servent à la promotion du jeu d’échecs.
Ca ne sert absolument à rien :
* si ce n’est pas chére les écoles en profitent pour se servir de cette "chose" pas chére au milieu d’une multitude d’autres.
* les parents qui mettent leurs enfants dans une activité d’école ne les mettent pas dans un club. Ils ne vont quand même pas se déplacer et payer pour une activité qu’ils ont gratuite et sans éffort.

La promotion du jeu d’échecs dans les écoles ne peut passer que par les enseignants (animateurs) qui font ça dans le cadre de leur travail et sont contents de faire une activité qui leur plaît. Ensuite quelques rescapés vont vers les clubs. Si la ligue veut promouvoir le jeu d’échecs dans les écoles, il faut soutenir les enseignants (et ils sont nombreux) qui y officient.

A mon avis le travail de Michel doit être orienté vers les clubs avec une double orientation :
* pas de gratuité pour les enfants. Jamais sinon vous dévaluez le travail éffectué. Des tarifs abordables et des bourses pour les familles aux revenus modestes.
* je pense que Michel devrait intervenir plus au niveau de la formation des animateurs sur place car la mise en place de cours ne tiendra jamais la route. Si les clubs pensent faire des économies d’éfforts et de sous en se servant de lui, ce n’est pas vraiment une politique tournée vers l’avant.
* il faut garder tout ce qui est préparation aux championnats.

En conclusion, je pense que le poste de Michel doit être constitué de trois parties :
* préparation des jeunes aux championnats.
* formation des animateurs
* le poste de Michel doit donc davantager être celui d’un directeur technique.

Par contre il faut oublier les écoles, ça ne sert à rien et c’est une perte de temps et d’argent.
Ce poste doit évoluer progressivement car un chamboulement brusque effectivement provoquerait sa destruction par la perte des ressources qu’il génére.