Tous, nous partageons l’envie de faire de notre passion commune une discipline connue et reconnue. Notre fédération est, paraît-il, en plein progrès... Mais qui le sait en dehors de notre microcosme ?
Tous, nous avons des idées et des projets pour aller de l’avant. Mais il subsiste encore trop de pesanteurs qui constituent des obstacles de taille au développement du jeu d’échecs en France. Pourtant, nous n’avons pas le temps de tergiverser, il faut que notre sport évolue. Il faut que les projets voient le jour, que nos compétences s’organisent.
Il faut encore accroître l’apprentissage du jeu d’échecs à l’école, afin de renforcer la base des pratiquants.
Il faut mener une politique de communication moderne, accéder à tous les medias, et viser une popularisation massive de notre sport.
Il faut que la France pèse de tout son poids sur le plan international, pour mieux défendre nos projets.
Il faut que le Président de la FFE joue un véritable rôle d’ambassadeur auprès des organismes publics de tutelle et des sponsors privés pour arriver, au plus vite, à une forte augmentation de nos moyens.
C’est dans cet esprit que j’ai décidé d’être candidat à la Présidence de notre Fédération lors de la prochaine échéance électorale, au début de l’année 2005.
Joueur assidu depuis les catégories jeunes, membre du Comité Directeur de la Fédération de longue date, je connais bien les rouages du paysage échiquéen français. Plusieurs fois Capitaine de l’équipe nationale, je sais comment regrouper les volontés pour atteindre un objectif sportif défini. Responsable du club de Clichy, j’ai acquis une excellente connaissance du terrain : politique sportive, relations avec les partenaires institutionnels et privés, développement du jeu d’échecs en milieu scolaire sont autant d’axes de travail qui me sont familiers.
Il est temps aujourd’hui de rassembler les expériences et les compétences afin de stimuler la pratique du jeu d’échecs, à la fois comme loisir et comme sport de compétition. Les deux approches sont, nous le savons tous, absolument indissociables. Car pour rayonner vraiment, il faut du plaisir, mais aussi de l’éclat.
Je mettrai à profit les mois qui viennent pour discuter avec tous ceux d’entre vous qui le souhaitent, et pour bâtir un plan d’action aux objectifs partagés.
Dès demain, rencontrons-nous, écrivons-nous, appelons-nous…
Confrontons nos idées, parmi lesquelles figureront celles qui sont susceptibles de faire grandir notre sport. Et regroupons nos savoir-faire pour donner à la Fédération Française des Echecs la stature qu’elle mérite.
Jean-Claude Moingt
Jcm-ffe2005 chez point-barre.com
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..Et voici la déclaration de JC Moingt
Chers amis joueurs d’échecs,
Tous, nous partageons l’envie de faire de notre passion commune une discipline connue et reconnue. Notre fédération est, paraît-il, en plein progrès... Mais qui le sait en dehors de notre microcosme ?
Tous, nous avons des idées et des projets pour aller de l’avant. Mais il subsiste encore trop de pesanteurs qui constituent des obstacles de taille au développement du jeu d’échecs en France. Pourtant, nous n’avons pas le temps de tergiverser, il faut que notre sport évolue. Il faut que les projets voient le jour, que nos compétences s’organisent.
Il faut encore accroître l’apprentissage du jeu d’échecs à l’école, afin de renforcer la base des pratiquants.
Il faut mener une politique de communication moderne, accéder à tous les medias, et viser une popularisation massive de notre sport.
Il faut que la France pèse de tout son poids sur le plan international, pour mieux défendre nos projets.
Il faut que le Président de la FFE joue un véritable rôle d’ambassadeur auprès des organismes publics de tutelle et des sponsors privés pour arriver, au plus vite, à une forte augmentation de nos moyens.
C’est dans cet esprit que j’ai décidé d’être candidat à la Présidence de notre Fédération lors de la prochaine échéance électorale, au début de l’année 2005.
Joueur assidu depuis les catégories jeunes, membre du Comité Directeur de la Fédération de longue date, je connais bien les rouages du paysage échiquéen français. Plusieurs fois Capitaine de l’équipe nationale, je sais comment regrouper les volontés pour atteindre un objectif sportif défini. Responsable du club de Clichy, j’ai acquis une excellente connaissance du terrain : politique sportive, relations avec les partenaires institutionnels et privés, développement du jeu d’échecs en milieu scolaire sont autant d’axes de travail qui me sont familiers.
Il est temps aujourd’hui de rassembler les expériences et les compétences afin de stimuler la pratique du jeu d’échecs, à la fois comme loisir et comme sport de compétition. Les deux approches sont, nous le savons tous, absolument indissociables. Car pour rayonner vraiment, il faut du plaisir, mais aussi de l’éclat.
Je mettrai à profit les mois qui viennent pour discuter avec tous ceux d’entre vous qui le souhaitent, et pour bâtir un plan d’action aux objectifs partagés.
Dès demain, rencontrons-nous, écrivons-nous, appelons-nous…
Confrontons nos idées, parmi lesquelles figureront celles qui sont susceptibles de faire grandir notre sport. Et regroupons nos savoir-faire pour donner à la Fédération Française des Echecs la stature qu’elle mérite.
Jean-Claude Moingt
Jcm-ffe2005 chez point-barre.com