Championnat de France jeunes, un bilan très mitigé.
3 mai, 11:20, par Roland Virginie
Bonjour,
Merci pour vos réponses argumentées et instructives. Je lirai avec attention les liens que vous avez envoyés.
Nous avons une courbe d’apprentissage en tant que parents, surtout béotiens dans ce milieu : l’enfant a d’abord une passion, puis on lui détecte des capacités, puis les parents et les enfants découvrent le monde des échecs, qui nécessite temps et argent. L’investissement de l’enfant, c’est lui qui en décide, mais les outils de sa progression (livres, vidéos, choix des cours particuliers, du type d’entraineur, des lieux de compétitions, du type de tournois qu’il doit jouer) reposent surtout sur les parents et bien sur l’entraineur de club, surtout quand les enfants sont petits. On navigue toujours entre ce qu’il désire lui à moins de 8 ans ou 10 ans et ce que nous projetons pour eux et espérons en terme de réussite (est ce qu’on en fait trop ou pas assez ?). Je trouve aussi que l’aspect financier qui repose exclusivement sur les parents est un frein à la diversité et à l’inclusion. Pour avoir connu d’autres sports, cela n’est pas toujours le cas via les sports études intégrés au collège/lycée et les insep par exemple.
Enfin je crois que les enfants d’Occitanie ont les capacités de se hisser plus haut encore, mais qu’ils ont besoin aussi d’un soutien institutionnel plus fort, et que le seul constat du résultat mitigé ne suffit pas, qu’il faut creuser.
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Bonjour,
Merci pour vos réponses argumentées et instructives. Je lirai avec attention les liens que vous avez envoyés.
Nous avons une courbe d’apprentissage en tant que parents, surtout béotiens dans ce milieu : l’enfant a d’abord une passion, puis on lui détecte des capacités, puis les parents et les enfants découvrent le monde des échecs, qui nécessite temps et argent. L’investissement de l’enfant, c’est lui qui en décide, mais les outils de sa progression (livres, vidéos, choix des cours particuliers, du type d’entraineur, des lieux de compétitions, du type de tournois qu’il doit jouer) reposent surtout sur les parents et bien sur l’entraineur de club, surtout quand les enfants sont petits. On navigue toujours entre ce qu’il désire lui à moins de 8 ans ou 10 ans et ce que nous projetons pour eux et espérons en terme de réussite (est ce qu’on en fait trop ou pas assez ?). Je trouve aussi que l’aspect financier qui repose exclusivement sur les parents est un frein à la diversité et à l’inclusion. Pour avoir connu d’autres sports, cela n’est pas toujours le cas via les sports études intégrés au collège/lycée et les insep par exemple.
Enfin je crois que les enfants d’Occitanie ont les capacités de se hisser plus haut encore, mais qu’ils ont besoin aussi d’un soutien institutionnel plus fort, et que le seul constat du résultat mitigé ne suffit pas, qu’il faut creuser.