Dans cet hommage, j’oubliais Monsieur Brauckmann et son fils Bent qui furent la génération suivante qui s’agrégea au club. Et c’est grâce à Hartwich que j’ai pu faire de nombreux tournois car il me transporta de multiples fois alors que j’habitais Pamiers et lui Carbone. Il venait systématiquement me chercher (et me ramenait) pour faire les tournois. Je me souviens un jour avoir obligé mon sac dans sa voiture et l’avoir ainsi obligé à me le ramener le jour même. J’étais horriblement gêne alors qu’Hartwich ne montra jamais le moindre mécontentement. Un autre souvenir que nous avons en commun est un tournoi que nous avions fait dans la journée et alors qu’il n’y avait pas de neige, le soir, il y en avait un mètre et nous étions rentré avec pas mal de peurs.

Voilà, j’en finis pour cet hommage généralisé pour ce club de Lavelanet qui fut vraiment une aventure humaine inégalable.