Lors d’élections, que ce soit dans la vie associative, ou en politique, à moins d’être un grand naïf, nul électeur ne croit à 100% aux promesses faites et sait bien que nombre d’entre elles ne seront pas tenues.
Mais on vote quand même pour élire celui qui semble le plus près de ses idées, ou pour éliminer un concurrent qui ne plait pas du tout.

C’est ce qui s’est produit en Mars 2013 à la FFE où c’est une liste composée de nombre d’inconnus, qui ont fait une bonne campagne électorale et au programme semblant plus proche des clubs, qui l’a emporté face à une liste de plus grande notoriété mais dont le leader s’est éloigné de la base et s’est cru élu avant d’avoir fait campagne.

Quant aux moyens nécessaires au développement, cela est vrai pour l’organisation de grandes messes et pour les grands clubs ayant des ambitions, mais pas pour la base, les Echecs étant une discipline bon marché. On peut très bien implanter un club avec très peu de moyens financiers, et j’en parle en toute connaissance de cause l’ayant fait par 2 fois, le tout est de vouloir.