Il n’y a pas lieu de se réjouir de la situation actuelle car s’il y a bien un grand perdant, c’est le jeu d’Echecs dont le développement stagne, ou tout au moins progresse à une vitesse trop lente.
Salazaristes ou battestistes, chacun a voté en 2013 avec sincérité pour une modernisation et une expansion du jeu. Et aujourd’hui chacun constate que les choses n’évoluent que de façon trop parcellaire, sans réelle vision d’ensemble, et que trop de couacs auraient pu être évités.
Les prochaines élections auront lieu dans 18 mois (Mars 2017) et il est à craindre que dans cette attente, des réformes indispensables soient mises au placard ou renvoyées aux calendes grecques.
Ce n’est pas ce que les électeurs et joueurs de base attendaient.
Il n’y a pas lieu de se réjouir de la situation actuelle car s’il y a bien un grand perdant, c’est le jeu d’Echecs dont le développement stagne, ou tout au moins progresse à une vitesse trop lente.
Salazaristes ou battestistes, chacun a voté en 2013 avec sincérité pour une modernisation et une expansion du jeu. Et aujourd’hui chacun constate que les choses n’évoluent que de façon trop parcellaire, sans réelle vision d’ensemble, et que trop de couacs auraient pu être évités.
Les prochaines élections auront lieu dans 18 mois (Mars 2017) et il est à craindre que dans cette attente, des réformes indispensables soient mises au placard ou renvoyées aux calendes grecques.
Ce n’est pas ce que les électeurs et joueurs de base attendaient.