Le problème c’est que "l’art du combat aux échecs"(Zurich 53) est un délice pour les yeux et les neurones,mais il n’aide pas forcément à progresser,disons que c’est une exquise friandise.
+1 !
C’est un recueil de parties, brutes ou commentées, donc pas de recettes miracle, pas de leçons, pas d’études d’ouvertures, etc...
Mais, outre l’aspect "livre de chevet", par ses anecdotes et la façon dont il réussit à faire vivre ce tournoi comme si l’on y était, il permet d’appréhender un peu ce qui différencie un maître d’un amateur :
– la "dureté" de leur jeu, une fois que la proie est saisie, toujours resserrer sa prise...
– la créativité (il y a une est-indienne monumentale, je chercherai ce soir...)
– les multiples façons d’aborder une partie, en fonction de son humeur, son caractère et son style.
– Mais avec toujours derrière un bagage technique et livresque monumental... Ce qui fait prendre conscience de l’énorme quantité de travail qu’ont dû fournir ces gens là.
Bref, ça fait toucher un peu du doigt ce que c’est d’être un "vrai" joueur d’échecs.
Un pur bijou !
N.B : et en plus, la traduction française est remarquable, comparée à d’autres...
Il y a aussi "Mes 50 meilleures parties" de B. Fischer, dans un autre registre, mais que j’ai beaucoup aimé.
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C’est un recueil de parties, brutes ou commentées, donc pas de recettes miracle, pas de leçons, pas d’études d’ouvertures, etc...
Mais, outre l’aspect "livre de chevet", par ses anecdotes et la façon dont il réussit à faire vivre ce tournoi comme si l’on y était, il permet d’appréhender un peu ce qui différencie un maître d’un amateur :
– la "dureté" de leur jeu, une fois que la proie est saisie, toujours resserrer sa prise...
– la créativité (il y a une est-indienne monumentale, je chercherai ce soir...)
– les multiples façons d’aborder une partie, en fonction de son humeur, son caractère et son style.
– Mais avec toujours derrière un bagage technique et livresque monumental... Ce qui fait prendre conscience de l’énorme quantité de travail qu’ont dû fournir ces gens là.
Bref, ça fait toucher un peu du doigt ce que c’est d’être un "vrai" joueur d’échecs.
Un pur bijou !
N.B : et en plus, la traduction française est remarquable, comparée à d’autres...
Il y a aussi "Mes 50 meilleures parties" de B. Fischer, dans un autre registre, mais que j’ai beaucoup aimé.